Comment transformer sa relation à l’échec pour en faire un moteur et non plus un frein ? Comment retrouver l’élan et la confiance en soi?
Notre relation à l’échec, comme notre confiance en nous, se construit dans l’enfance. Et la plupart du temps, l’éducation, la pression scolaire, vont rendre l’échec difficile à vivre.
L’échec est défini comme le fait de ne pas réussir, de ne pas obtenir quelque chose. On parle de « subir » un échec.
Il s’agit en effet d’une expérience désagréable et douloureuse, source d’émotions intenses, souvent difficiles à vivre.
Et pour beaucoup, c’est la fin de tout. Il y a quelque chose de définitif et de très douloureux dans la façon dont nous envisageons l’échec. La peur de l’échec peut entrainer du découragement et peut amener à abandonner à la première difficulté ou à ne pas oser essayer. Nous entrons alors dans un cercle vicieux dont il est de plus en plus difficile de sortir.
Et pourtant, avant toute chose, l’échec est une expérience, utile et constructive, si nous savons quoi en faire.
Pour cela, nous avons besoin de changer notre façon de l’appréhender, et de modifier le regard que nous portons sur notre expérience. Nous avons besoin de l’accepter et de transformer ce que cela vient nous dire de nous. En effet nous avons peut être échoué à un moment donné, mais cela ne nous définit pas.
A partir de là nous pouvons faire de cet échec une expérience constructive, qui peut nous permettre d’avancer. Qu’est-ce que nous avons appris, qu’est ce ça nous a apporté ? qu’est-ce que nous pouvons en faire ?
La sophrologie permet de mieux se connaitre et de s’accepter tel que l’on est, avec ses faiblesses, ses difficultés, ses croyances, mais aussi avec ses prises de conscience, ses ressources, ses capacités, qu’elle va aider à développer pour aller vers plus de confiance en soi. L’échec n’est dès lors plus un souci, et ne nous empêche plus d’aller de l’avant!